Voix off Jan Peter Bergkvist, promoteur de la première chaîne hôtelière verte. Stockholm, Suède. Pendant des années, l’industrie hôtelière a consommé sans limites eau et électricité pour le confort de sa clientèle. Pour éviter ce gaspillage onéreux, ce manager des hôtels Scandic a été le premier au monde à mettre en place, avec son équipe, des solutions écologiques originales pour leurs 23 000 chambres. Jan Peter Bergkvist, promoteur de la première chaîne hôtelière verte Notre politique concernant les serviettes est devenue une icône dans le développement durable. De nombreux hôtels ont repris notre idée qui consiste à proposer aux clients la possibilité de changer de serviette tous les jours ou de garder celle qu’on lui a fournie à son arrivée. Voix off Même principe pour les draps qu’on peut garder d’une nuit sur l’autre. Pour éviter d’utiliser des détergents, toutes les salles de bains sont nettoyées à la vapeur. Trois initiatives parmi des dizaines d’autres plébiscitées par les clients. Jan Peter Bergkvist, promoteur de la première chaîne hôtelière verte Si vous expliquez aux clients les choix que vous faites, ils les comprennent et vous sont reconnaissants de les aider à faire partie de la solution. Voix off Dans les 150 hôtels Scandic, la chasse« antigaspi[1] »se fait à tous les étages, jusque dans les cuisines. Ici, les restes de repas ne finissent pas à la poubelle, mais dans un macérateur pour produire du biogaz. Cette énergie contribue à faire rouler quelques bus dans les rues de Stockholm. Jan Peter Bergkvist, promoteur de la première chaîne hôtelière verte Petit à petit, on se dirige vers un monde plus durable, plus rentable, plus agréable à vivre pour tous, mais on n’y est pas encore. C’est juste le début, mais c’est agréable de savoir que nous appartenons à une équipe qui encourage ce mode de vie. Voix off Pour Jan Peter et son équipe, le pari de l’écologie a déjà porté ses fruits : plus de 2 millions d’euros ont été économisés en 5 ans. Alors, prêts à suivre leur exemple ?
Voix off « Ça bouge à Bruxelles » vous emmène dans la jolie capitale de la Belgique. C'est ici que siègent la plupart des institutions de l'Union européenne ainsi que de nombreuses organisations internationales. Les symboles de Bruxelles sont nombreux : Manneken-Pis, les frites, les gaufres, l'Atomium érigé lors de l'exposition universelle de 1958, et la Grand Place. On vient du bout du monde pour la photographier. Elle est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. Une touriste (La)* Grand Place m'a donné beaucoup d'énergie. Voix off Victor Hugo la qualifiait de plus belle place au monde et c'est ici que Karl Marx commença à rédiger son manifeste : Le Capital. Les maisons des corporations de Bruxelles, la maison du Roi et le splendide Hôtel de Ville ravissent les visiteurs. Et puis, il y a l'art de vivre à la belge : le chocolat et les pralines créées en 1912 par Neuhaus, sans oublier les frites et la bière. Des jeunes Santé ! Tchin tchin ! Voix off Une bière qui se déguste avec sagesse dans ces petits estaminets qui mélangent générations et couches sociales. Pour les dénicher, rien de tel que de se rendre le dimanche matin au marché aux puces de la Place du Jeu de Balle dans le quartier populaire des Marolles. On y croise même Tintin, héros national créé par Hergé pour les jeunes de 7 à 77 ans. Accents colorés d'ici qui se mêlent, et ceux de là-bas, touristes et autochtones, y trouvent leur bonheur. Par ici des terrasses, par là des ambiances estudiantines pour une ville pluriculturelle et dynamique. Jeune homme interviewé L'ambiance est chouette. Ça fait un peu, style un peu vieux, avec des vieux murs. J'aime bien, ça me plaît beaucoup. Jeune femme interviewée Le fait que ce soit une ville très internationale qui bouge beaucoup et où on a beaucoup d'opportunités, j'aime bien ça.