Quatre mots sur un piano Patrick Fiori, J-J. Goldman et C. Ricol

Disponible jusqu'au 31/12/2030 - 22:59Disponible jusqu'au 31/12/2030
« L’amitié ne peut être que la passerelle qui mène à l’amour » disait Jules Renard. Êtes-vous d'accord ?
Parler de la colocation ; exprimer des souhaits et des regrets ; utiliser le conditionnel passé.
Durée
4:17
P. Fiori, J-J. Goldman et C. Ricol : Quatre mots sur un pianoParoles et musique : Goldman © RCA / Sony BMG

Vidéo

PDC-PatrickFioriGoldmanRicol-4MotsSurUnPiano-Video
Ressources pédagogiques
  • B1
    B2

B1 intermédiaire B2 avancé

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Grammaire : argumentation
Grammaire : conditionnel
Grammaire : discours rapporté
Parler : Parler
Regarder : Regarder
Vocabulaire : vie quotidienne
Vocabulaire : sentiments
Écouter : Écouter
Écrire : Écrire
Fiche pédagogique
    L’amour, l’amitié.
    Production
    RCA / Sony BMG
    Album
    Si on chantait plus fort
    Composition
    Goldman
    - Modifié le
    07/12/2021
    Quatre mots sur un piano, ceux qu'elle a laissés
    Quatre c'est autant de trop, je sais compter
    Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
    Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
    Ne le saurai-je jamais ?

    Cas très banal, cliché, dénouement funeste
    Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste
    Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire
    La partager me soufflait Lucifer
    Depuis je rêve d'enfer

    Moi j'aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
    Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
    Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
    Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ?
    N'aime-t-on jamais assez ?
    Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
    Cartes jouées mais la reine s'est cachée
    Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
    Les questions, les soupirs et les sentences
    Je préférais ses absences

    Moi j'aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
    Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
    Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
    Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots ?
    N'aime-t-on jamais assez ?

    Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
    Vous deux, nouiez, filiez mon parfait amour
    Un matin vous m'avez condamné à choisir
    Je ne vous aimais qu'à deux
    Je vous laisse, adieu
    Choisir serait nous trahir

    Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
    Ne le saurai-je jamais ?
    La partager me soufflait Lucifer
    Depuis je rêve d'enfer.