« L’amitié ne peut être que la passerelle qui mène à l’amour » disait Jules Renard. Êtes-vous d'accord ? Parler de la colocation ; exprimer des souhaits et des regrets ; utiliser le conditionnel passé.
Quatre mots sur un piano, ceux qu'elle a laissés Quatre c'est autant de trop, je sais compter Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ? Ne le saurai-je jamais ?
Cas très banal, cliché, dénouement funeste Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire La partager me soufflait Lucifer Depuis je rêve d'enfer
Moi j'aurais tout fait pour elle, pour un simple mot Que lui donne l'autre que je n'offrirais ? Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ? N'aime-t-on jamais assez ? Quatre années belles à pleurer, maigre résumé Cartes jouées mais la reine s'est cachée Quatre millions de silences, de regrets qui dansent Les questions, les soupirs et les sentences Je préférais ses absences
Moi j'aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau Que lui donne l'autre que je n'offrirais ? Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots ? N'aime-t-on jamais assez ?
Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour Vous deux, nouiez, filiez mon parfait amour Un matin vous m'avez condamné à choisir Je ne vous aimais qu'à deux Je vous laisse, adieu Choisir serait nous trahir
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ? Ne le saurai-je jamais ? La partager me soufflait Lucifer Depuis je rêve d'enfer.