Dionysos nous fait voyager dans le temps et nous replonge en enfance. Que reste-t-il de notre fougue, de notre envie d'explorer le monde, de nos yeux remplis de paillettes ?
Je le connais ce chêne Je le connais Il retient l'horizon Il nous protège Même quand il neige sur les fleurs de printemps De notre enfance Mémoire sauve du vent Entre les branches Et à travers le temps
Il me connaît ce chêne Il me connaît Depuis bien longtemps Il n'oublie rien le chêne Je me déchaîne pour remonter le temps De notre enfance Mémoire sauve du vent Entre les branches Et à travers le temps
Sur le chemin des conifères Je grimpais Sur le toit des conifères Je rêvais De vivre en accéléré Oh vivre en accéléré, oh
Tu l'as planté ce chêne Tu l'as planté le jour où je suis né Il a poussé le chêne Dans le ciel ses branches se sont enracinées