PDC-ThomasPradeau-Audrey-A2-B1-Complet-pdf
Durée
3:14
My Major Company
Artiste : Thomas Pradeau Paroles : Thomas Pradeau Musique : Thomas Pradeau Album : A deux pas de ma rue Maison de production : My Major Company
Vidéo
PDC-ThomasPradeau-Audrey-Video
Ressources pédagogiques
- A2B1
A2 élémentaire B1 intermédiaire
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Fiche pédagogique
PDC-ThomasPradeau-Audrey-A2-B1-Complet-doc
Copyright FP
Céline Benelhadj-Savin (CAVILAM - Alliance française, Vichy)
À propos
Le romantisme, l’évolution des mœurs, Paris, le XXe siècle.
Production
My Major Company
Album
A deux pas de ma rue
Composition
Thomas Pradeau
Publié le
05/07/2013
- Modifié le
07/12/2021
Transcription
Audrey faudrait que tu le lâches
Faut pas que tu nous gâches
Que t’en aies rien à faire
Audrey, je sais je fais tâche dans ton équipage
Et à quoi je sers
Audrey, l’amour ça fait mal
L’amour ça rend mule
L’amour ça s’emmêle
Si belle, elle baigne ses pinceaux
Dans les aquarelles de mon inconnu.
Audrey, je sais bien je suis pas roi
Je n’ai pas vraiment de toit
Je ne vis pas sur la terre
Tu sais si on veut, on voit
S'il te plaît, essaye-moi
Je suis peut-être à tes airs
Audrey, l’amour ça transpire
Les murs se transforment dans ton atmosphère
Et l’air qui m’inspire ces mots
À deux pas de l’enfer.
À deux pas de ma rue.
Audrey, je termine sur ces lettres
Les lignes de ton être
Les vignes sur tes lèvres
J’épouserais ta silhouette
Sur une cigarette
Dans le coin d’un rêve
Faudrait que tu le lâches
Faut pas que tu nous gâches.
Faut pas que tu nous gâches
Que t’en aies rien à faire
Audrey, je sais je fais tâche dans ton équipage
Et à quoi je sers
Audrey, l’amour ça fait mal
L’amour ça rend mule
L’amour ça s’emmêle
Si belle, elle baigne ses pinceaux
Dans les aquarelles de mon inconnu.
Audrey, je sais bien je suis pas roi
Je n’ai pas vraiment de toit
Je ne vis pas sur la terre
Tu sais si on veut, on voit
S'il te plaît, essaye-moi
Je suis peut-être à tes airs
Audrey, l’amour ça transpire
Les murs se transforment dans ton atmosphère
Et l’air qui m’inspire ces mots
À deux pas de l’enfer.
À deux pas de ma rue.
Audrey, je termine sur ces lettres
Les lignes de ton être
Les vignes sur tes lèvres
J’épouserais ta silhouette
Sur une cigarette
Dans le coin d’un rêve
Faudrait que tu le lâches
Faut pas que tu nous gâches.
